Le recueil de belles choses de toute sorte.

Bloudas a écrit:: Un Jour de bonheur
Un moment qui nous le dit
Un lieu choisit
Dans une taverne de bon heure.

Un ange gardien apparu au seuil de la porte
Porta avec lui un sourire des plus charmeur
Et un humour sans pareil qui rapporte
De l'humour plus intelligent et joueur

Cupidon faisait son oeuvre
Faisant ce dont il était assigné
Créant un chef d'oeuvre
En lançant ses flèches sans faire saigner

Ce ne sont pas des flèches qui blesse
Mais de ceux qui font qu'on est heureux
Que peut t'on y espérer de mieux?
On ne peut que vivre l'ivresse

Ivresse qui mène au 7 ième ciel
Là où tout est merveilleux
Un couple c'est l'amour perpétuel
Malgré que, quelque fois, le ciel est orageux

Le principal est toujours de régler les conflits
Passer par dessus les difficultés et montrer l'affection
Qui triomphe le plus souvent après une bonne discussion
Et on vous dit pas où souvent ça fini, d'où tout est magie.

Valmeu a écrit:: Espoir de Vie

Jour de bonheur, douce rencontre,
Petite Flamme, luit dans mon cœur,
Petite fleur, me le démontre
L’espoir du nid et du bonheur

De par l’humour je nous protège
Ange gardien, pour toi je suis
Et par amour, je sacrilège
Car ton bonheur, je vie pour lui

Précisément Cupidon couche
L’art de visée, il détient bien
Collimateur, souvent il touche
Au choix de cibles, il n’entend rien

Septième ciel, je t’y emmène
Car il faut vivre et profiter
Couple et enfants parce que je t’aime
Au jour le jour te guiderai

Douce rosée, petite Flamme,
La vie est courte mais chamarrée
Il faut savoir garder son âme
Mais se garder de l’enflammer

Et si l’amour que je te porte,
Venait jamais à s’envoler
C’est que mon cœur devant ta porte
Cessé de battre à tout jamais

Bloudas a écrit:: Il parait qu'un ange gardien est arrivé

Il parait qu'elle est contente

Il parait qu'elle a hate de le voir

Il parait qu'elle s'ennuyait

Il parait qu'elle l'aime

Il parait que le temps était long sans lui

Il parait qu'une chance que sa belle soeur était là quand mm ^^

Il parait qu'elle a hate de reprendre la route

Il parait que c'est pour bientot.

Il parait qu'ils étaient de retour pour une raison

Il parait que ca aurait dû etre fait depuis un bon moment

Il parait que rien n'est commencé

Il parait que si ca continu elle va reprendre la route et qu'elle attendra pas.

Il parait que les seuls personnes qu'elle attendra avant de le faire sera celui ou ceux qui viendront avec elle.

Valmeu a écrit:: Il parait que son ange gardien était torturé par l'amour
Il parait que c'est bien terminé
Il parait qu'il remercie Calli....
Il parait que l'ange devient vermeil dans ses bras
Il parait qu'il est fou d'elle
Il parait qu'elle lui a fait perdre la tête
Il parait qu'il compte les heures chaque jour
Il parait que...sacré décalage!
Il parait que tout est si simple avec elle
Il parait qu'il adore la simplicité
Il parait que telle une petite flamme, elle scintille constamment dans son cœur.
Il parait que la route ils l'ont prise ensemble
Il parait que cette route ils la poursuivront à l'unisson
Il parait que....Je t'aime!

Petite Flamme

Le recueil de belles choses de toute sorte. Flamme_kerze_petite

Petite Blou, petite flamme,
Regard si doux si captivant
Dans ses yeux clairs, je vois son âme
Est-elle femme ou bien enfant ?

Pure Sylphide, Jolie déesse,
Dans son esprit, je vois le mien
Sensible, douce, pure caresse
Mon cœur meurtri, es ce le tien ?

Ame si pure, si scintillante
Comme une étoile au firmament
Cheveux de geai tel un ciel d’encre
Je veux m’y perdre inconsciemment

Petite Blou, petite flamme,
Sur son corps svelte et ondoyant,
Je m’aperçois et le déclame
Qu’elle est bien femme et plus enfant

Valmeu le 25 juillet 1458

Le recueil de belles choses de toute sorte. Amitia10

L’histoire d’un début (version améliorée^^)

Une étoile filante se promenait
Un vœu fut formulé, un souhait
Que croyez-vous qu’il se passa ?
Un ange gardien près de moi s’égara

Première question posé à l’arrivée
« Bonjorn, vous allez bien ? »
Ces premiers mots, bien naturellement prononcés...
En quelques secondes ses yeux et son sourire ont fait leur chemin

Timidité commune
Dans un tavernier silence, j'usai du charbon
Il en devint hilare, la Vengeance sonnait Union
L'amitié était née d'une minérale fusion !

Elle ne regretta pas d’avoir pris sa chance
De cette façon, elle avait brisé la glace.
Elle se laissa guider par ses sentiments
Et la lui prit dans ce minier instant.

Quand on y pense, finalement
Tout se corrige avec le temps
Il suffit de peser le Firmament
Ses Étoiles, ses comètes, ses tourments

Et IL la prit dans ce minier instant
Le temps dira que tout ne se fait pas en un jour
Elle le laissera choisir sa voie
Songeuse, elle l'aimera, quoiqu'il en soit...

La Femme éternelle vibre en son infini cœur.

Ta Blou qui t’aime.

Rires

Rire, sourire, rictus … habiles différences,

Etats natifs de l’être, formes galbées, paraitre

Fécond, facondes étourdissantes, subtiles dissemblances

Sibyllin, nébuleux et jouir à s’en repaitre

Ephémère, j’existe d’envols, âmes tendues à craquer

Parfois taiseur, sinon moqueur, tantôt rusé

Je m’extrais de l’inaudible, en contemple les traits

Parfois joueur, sinon frondeur, tantôt gêné,

Halo de l’âme…Visible à qui sait le mirer.

Jamais n’est seul, voila le drame, laisser vivre

Vers la violence de l’osmose…l’infini reflet

Il est le cœur, subtile trame de la chair ivre

Habile nuance, sépare humain et animal

Il est l’aisance, il est la flamme, scintillement moiré

L’humour se joue de nos errances, puits abyssal

Il est l’essence, il est la clef, celle de l’âme la seule vrai

L’histoire d’un début (suite^^)

Le recueil de belles choses de toute sorte. Signes_amoureuxe

Une étoile filante se promenait
Surement la même en vérité
Que croyez vous qui se passa ?
En mon cœur Petite Flamme s’installa

La question banale fût posée
« Bonjorn vous allez bien ? »
Mais le charme de ses yeux avait déjà joué
Le chemin pour nous deux était déjà tout tracé

Timidité commune, sera vite envolée
Car le gentil p’tit bout de charbon avait parlé
Les moustaches noires tracés avec ses lèvres les a effacées
A jamais dans leur esprit ce baiser demeurera gravé

Il ne regretta pas qu’elle ait pris sa chance
Si elle ne l’avais fait, c’est lui qui se serait jeté
A y réfléchir la glace n’avait aucune chance de perdurer
Grâce à cet instant minier leur amour était né

Quand on y pense, évidemment, le cœur s’apaise avec le temps
Il a suffit qu’il voie ses yeux, pour qu’il décolle vers d’autres cieux
Quand il l’a prit en cet instant, sa voie volait au firmament
P’tit bout d’charbon dans son esprit, son choix était fait pour la vie.

La femme éternelle et magique, permet à l’homme de revivre

Le recueil de belles choses de toute sorte. Nouveau_depart

Il parait qu’il ne parait plus,
Il parait que paraitre est devenu certitude
Il parait que l’heure a sonné
L’heure a sonné de l’aimer
L’heure a sonné d’être son ange gardien,
L’heure a sonné de s’abandonner dans ses bras
L’heure a sonné pour elle de s’éloigner de la politique
L’heure a sonné pour lui d’abandonner son postulat
L’heure a sonné de visiter la « botte » ensemble
L’heure a sonné de vivre pleinement leur amour
L’heure a sonné d’œuvrer ensemble au sein de l’endroit le plus inespéré
L’heure a sonné d’y conjuguer leur effort afin de servir dignement l’Ame Noble et Pure.
L’heure a sonné enfin, d’être reconnaissant à G

Le recueil de belles choses de toute sorte. V6342610

Il parait qu'il est son ange gardien
Il parait qu'elle l'aime plus que tout
Il parait qu'elle se sens sécure avec lui
Il parait que bientot ils vont prendre la route
Il parait qu'il ne lui en reste plus gros avant d'avoir fini le mandat
Il parait que la politique.... bof
Il parait qu'elle manque de motivation pour terminer son boulot
Il parait que les voyage lui fera le plus grand bien
Il parait que tant qu'elle sera avec lui tout ira bien
Il parait qu'elle est heureuse et qu'elle voudrait bien passer sa vie avec l'Ange
Il parait qu'ils se complètent et que c'est bien comme ca.

Valmeu a écrit:: Platon, platonique, platonien…subjugué il découvre, incrédule…

Autant de plaisir, jamais n’aurait soupçonné, lui le mâle…

Oscillante douleur, lancinante géhenne, des débuts, des refus,

Oubliée, envolée, vers stratus et nuées, à jamais disparue,

Emoi renouvelé, inaltéré, temps vaincu à jamais

Liaison pudique, peu probable, insoupçonnée, instants déifiés

Surprise magistrale insufflée par sa douce et seule présence,

Nuit sur mes lèvres, Platon unis à l’enchanteresse déesse

Virevoltages, façade éphémère…la vérité, la vraie,

Je veux m’étourdir jusqu’à l’orage, me détruire ou m’élever

Caché sous l’aile de l’oiseau, qui voyage les mots

Depuis les ruines et les gravats chuchoter sous l’appeau

Lune d’eau, d’éclair et de fièvre, dans les rêves de ton souffle chaud

Sous la caresse océane d’une odeur, vibre la voile du vaisseau

Cils qui affleurent les miens, sans jamais que nos lèvres se touchent

Ces doux pleurs je les bois, je les sens, ils coulent dans ma bouche

Ivres les récifs de la chair, sans pouvoir, ni vouloir y goûter

L’amour vrai, à jamais est en eux, douce clarté ludique

Entrailles plaintives, nos frissons à la dérive cherchent l’espoir en vain

Ces choix seront les siens, confiance en elle il a, et cela c'est certain

Un tite musique qui me fais penser a toi quand je m'ennui.

https://www.youtube.com/watch?v=Slp50B4GKq4

Un beau jour, ou peut-être une nuit
Près d'un lac je m'étais endormie
Quand soudain, semblant crever le ciel
Et venant de nulle part
Surgit un aigle noir

Lentement, ses ailes déployées
Lentement, je le vis tournoyer
Près de moi, dans un bruissement d'ailes
Comme tombé du ciel
L'oiseau vint se poser

Il avait les yeux couleur dune île
Et des plumes aux couleurs de la nuit
À son front brillant de mille feux
L'oiseau roi couronné
Portait un diamant bleu

De son bec il a touché ma joue
Dans ma main il a glissé son cou
C'est alors que je l'ai reconnu
Surgissant du passé
Il m'était revenu

Dis, l'oiseau, ô dis, emmène-moi
Retournons au pays d'autrefois
Comme avant, dans mes rêves d'enfant
Pour cueillir en tremblant
Des étoiles, des étoiles

Comme avant, dans mes rêves d'enfant
Comme avant, sur un nuage blanc
Comme avant, rallumer le soleil
Être faiseur de pluie
Et faire des merveilles

L'aigle noir dans un bruissement d'ailes
Prit son vol pour regagner le ciel